D’une manière ou d’une autre de façon prononcée ou légère, régulièrement ou épisodiqument, une personne sur 6 souffre d’une forme d’arthrite. L’arthrite attaque les articulations, ce qui va causer une inflammation et, qui elle même va créer une douleur légère à très sévère et une impossibilité de bouger l’articulation correctement.
Les différents types d’arthrite sont très nombreux, on en compte plus d’une centaine de différents, la forme la plus courante étant l’arthrose et la polyarthrite rhumatoïde (PR). Plusieurs facteurs vont influencer l’arrivée et le développement de l’arthrite, tel que le vieillissement des blessures, une prise de poids, un manque cruel d’exercice, mais aussi des facteurs génétiques qui font que l’on tient ça de famille.

L’arthrose est due à une détérioration des joints de revêtement de cartilage, et attaque principalement les articulations des doigts, du genou et de la hanche. C’est la plus commune celle que l’on trouve bien souvent chez les personnes vieillissantes, ou chez les sportifs par exemple aux blessures multiples.

La polyarthrite rhumatoïde est plus grave, elle est le résultat de la libération du système immunitaire des anticorps qui immobilisent les articulations, les détruisant progressivement. Cette réaction, qui essentiellement une réponse inadéquate de la part du système immunitaire de l’organisme, se produit typiquement en réponse à la présence d’allergènes. L’arthrose a tendance à être pire la nuit, ou après une période de repos, quand il n’y a pas eu de mouvement; tandis que l’arthrite rhumatoïde est pire le matin.

Il n’existe pas réellement de remèdes pour l’arthrite, certains traitements peuvent ralentir la progression de la maladie et soulager l’inconfort existant. Pour de nombreux patients, un soulagement même léger de la douleur est bon à prendre. Des médicaments peuvent être prescrits comme le tylénol, le paracétamol, l’aspirine et d’autres analgésiques, mais également des anti-inflammatoires.

Le curcuma refait surface peu à peu, bien connu dans la médecine traditionnelle des Indes ou de la Chine, le curcuma y est prescrit pour les problèmes d’arthrite, puisqu’il conjugue à la fois les deux qualités d’être un anti-douleur, un analgésique léger et en même temps un anti-inflammatoire puissant.

Parce que le curcuma est à la fois anti-oxydant et anti-inflammatoire, il va permettre de diminuer l’inflammation dans les articulations et donc d’apaiser la douleur de l’arthrite. Certains chercheurs croient que le curcuma a le potentiel d’être plus efficace que les stéroïdes cortisone.
De plus le curcuma a l’énorme avantage de n’avoir aucun effets secondaires négatifs, c’est donc un produit et un remède naturel et sain.

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Des études scientifiques sur les propriétés curatives du curcuma ont montré que l’un de ses composants, appelés curcuminoïdes, est un bloqueur de protéines. Ces curcuminoïdes sont capables de réduire l’inflammation causée par l’activité d’une protéine.

En conclusion le curcuma n’est pas un remède miracle pour soigner l’arthrite, mais en revanche il peut améliorer le confort des personnes en souffrant, en diminuant l’inflammation et les douleurs qui en découlent.

Le curcuma et son composée principal la curcumine, se révèle être un anti-inflammatoire très efficace. Le curcuma a de tout temps trouvé son utilisation en cuisine, mais il est depuis toujours également un élément majeur dans la médecine traditionnelle.

Que ce soit en usage interne ou en usage externe il a trouvé sa place depuis des siècles dans la médecine chinoise et indienne.
L’un de ses usages les plus fréquents est en application topique, pour soigner les petites coupures et les petites plaies de chaque jour. Le curcuma est utilisé en poudre ou sous forme de pâte pour des problèmes comme l’érythème fessier, l’acné, la peau sèche, les dermatites, le psoriasis et bien d’autres encore.

Le curcuma possède de nombreuses propriétés anti-inflammatoire et antiseptiques qui le font prescrire aisément dans la médecine naturelle.

Le composant actif du curcuma est la curcumine, un antioxydant qui a fait ses preuves pour réduire l’inflammation. Il a été constaté par les chercheurs que la curcumine, dont le nom chimique est diferuloylmethane, peut empêcher l’activité de deux enzymes, appelé lipoxygénase et la cyclooxygénase-2 (COX-2). Ces enzymes sont responsables à la fois de la création et du maintien de l’inflammation.
La curcumine présente dans le curcuma neutralise ces deux enzymes ,et rougeurs et inflammation disparaissent ainsi que la douleur qui les accompagne fréquemment.

Une étude publiée rapporte que la curcumine est très efficace pour réduire l’inflammation post-chirurgicale, alors que les chercheurs de l’Université de l’Arizona ont trouvé des preuves pour soutenir la réputation de curcuma comme un agent anti-inflammatoire spécifiquement en ce qui concerne l’inflammation des articulations qui est commun pour les personnes souffrant de la polyarthrite rhumatoïde.

Contrairement aux médicaments, qui sont associés à des effets toxiques significatifs (ulcères, diminution des cellules blanches du sang, saignements intestinaux), la curcumine ne produit pas de toxicité.

Il est désormais prouvé que le curcuma peut jouer un rôle majeur dans le traitement du cancer, mais quid de la maladie d’Alzheimer un autre grand mal qui touche nombreux de nos concitoyens.

Et bien en fait les résultats sont assez prometteurs et laisseraient suggérer que tout comme pour le cancer le curcuma pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer ainsi que la progression d’autres maladies neurodégénératives. Et de nombreux chercheurs se penchent entre une relation possible entre la consommation de curcuma et la maladie d’Alzheimer.

A cela une raison bien précise et bien simple. Le curcuma est une plante essentiellement cultivée en Inde et dont la consommation dans ce pays est journalière. Or dans certaines parties de l’Inde le nombre de personnes âgées touchées par la maladie d’Alzheimer est inférieur à 1%, c’est un mal très peu répandu, alors que dans le même temps dans le monde occidental, la maladie d’Alzheimer est la cinquième cause de décès chez les personnes âgées de soixante-cinq ans et plus…de quoi se poser des questions.

On ne connait pas bien encore ce qui cause la maladie d’Alzheimer mais une protéine la bêta-amyloïde serait responsable de la formation de plaque dans le cerveau.

A l’université de Los Angeles des scientifiques ont fait une expérience avec des rats de laboratoires. On leurs a injecté de l’amyloïde pour reproduire la maladie d’Alzheimer, puis on les a divisé en deux groupes, l’un recevant de la curcumine, l’autre non.

Le résultat les rats ayant reçu régulièrement de la curcumine ont montré moins d’accumulation de plaque, que ceux n’en n’ayant pas reçu.
De plus les rats ayant reçu de la curcumine ont dépassé les rats normaux dans de très nombreux test de mémoire.

On pense que la curcumine empêche l’accumulation de plaque dans le cerveau et cela en grande partie dû au fait que le curcuma est riche en antioxydants.
En conclusion le curcuma semble ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer voir diminuer les symptômes de cette maladie. Il constitue dans tous les cas un excellent préventif à cette maladie de plus en plus fréquente.

De plus en plus on entend parler du curcuma et de ses effets bénéfiques sur le cancer, mais qu’en est il vraiment info? ou intox ?.



En fait le curcuma on le connaissait surtout comme une épice utilisée dans les currys ou pour colorer ces moutardes étrangères d’une couleur très vive. On savait en revanche qu’il était utilisé depuis de très très nombreuses années dans la médecine ayurvédique comme anti-inflammatoire ou pour nettoyer l’organisme et traiter quelques maladies hépatiques.

Toutefois ces dernières années avec la montée en puissance des médecines naturelles, le monde scientifique a commencé à se tourner vers le curcuma et son composé actif la curcumine, comme une solution possible pour combattre le cancer.
Les propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires de la curcumine en font de fait un agent préventif pour un certain nombre de cancers.

Une des expériences et études qui a mis le phare sur les capacités du curcuma et de la curcumine face au cancer, revient au Docteur Aggarwal. Lors de cette étude il a été démontré que la curcumine avait la capacité de ralentir la croissance des cellules cancéreuses du sein.

Le Dr Aggarwal a pris un groupe de souris auxquelles il a inoculé des cellules de cancer du sein. Puis il a divisé ces souris en quatre sous groupes, le premier ne recevant pas de traitement, le deuxième recevant un médicament contre le cancer qui se nomme le paclitaxel, le troisième groupe ne recevant que de la curcumine et enfin le dernier groupe a lui reçu de la curcumine et du paclitaxel.

Le résultat de cette expérience pas très sympa pour les souris a démontré que le développement d’un cancer des poumons par la suite a touché :
– 95 % des souris sans traitement
– 75 % des souris traitées uniquement au paclitaxel
– 50 % des souris traitées uniquement à la curcumine
– 22 % des souris traitées au paclitaxel et à la curcumine

Le résultat est sans appel, la curcumine seule obtient de meilleurs résultats que le médicament habituel contre le cancer. Et le couple médicament + curcumine a évité 78 % des développements d’un cancer des poumons.

La raison de ceci semble être le rôle de la curcumine dans la fermeture de la protéine spécifique qui stimule la propagation du cancer du sein. Le Dr Aggarwal affirme que «la curcumine agit contre les facteurs de transcription, qui sont comme un interrupteur principal. « Les facteurs de transcription», poursuit-il, «réglementent tous les gènes nécessaires pour que les tumeurs se forment. Lorsque nous les éteignons, nous avons fermé certains gènes qui sont impliqués dans la croissance et l’invasion des cellules cancéreuses ».

On en est encore qu’aux balbutiements et de nombreuses études restent à faire, ce qui est sûr c’est que le curcuma a un effet bénéfique sur la prolifération des cellules cancéreuses. Ce qui est sûr également c’est qu’aucun laboratoire n’a envie de financer trop d’études sur le sujet : imaginez une simple épice, une racine qui ne coute que trois fois rien et qui obtient de meilleurs résultats qu’un médicament vendu fort cher par ces laboratoires…